Présidente Lucky, mannequin de Paris (1961)
Bon exemplaire des mémoires de la mannequin Lucky qui fut une des mannequins préférées de Christian Dior.
Titre | Présidente Lucky, mannequin de Paris (1961) |
Édition | Paris, Fayard, 1961 |
Description | 240 pages imprimées en noir. Broché sous couverture illustrée en noir et rouge. |
État | Bon état, légères salissures à la couverture. |
Dimensions | 220 x 135 mm |
L'ouvrage est organisé ainsi :
- Avant-propos
- Je suis Bretonne
- Mes premiers pas de mannequin
- Sous le signe de la chance
- La cabine Fath
- Chez Dior ma seconde naissance
- Celles qui nous jugent
- Ambassadrices
- Présidente !
- Tout se paie...
- Maîtresse d'école
- La roue tourne
Au sein des maisons de couture, une hiérarchie se créé entre les mannequins dont certains occupent une position privilégiée. Elles portent les modèle phare et posent pour les magazines dans les robes du couturier. Une cabine compte autour d'une quinzaine de mannequins et une poignée d'entre elles deviennent de véritables ambassadrices du couturier. Plusieurs mannequins-vedettes ont écrit leur mémoires, permettant au lecteur de pénétrer dans les cabines des grandes maisons : Lelong, Fath, Balmain, Dior, etc. La première d'entre elles est Freddy qui publie en 1956 Dans les coulisses de la haute couture parisienne, souvenirs d'un mannequin-vedette. En 1958, Praline avec son autobiographie Praline, mannequin de Paris partage également son expérience. Christian Dior disait de Lucky : " Lucky c'est la couture mise en spectacle. D'une robe, elle peut faire à son gré, une comédie ou un drame " occupe une place particulière dans l'histoire du mannequinat, la bretonne ayant créé la mutuelle de la profession mais aussi une école de mannequin. Ses mémoires paraissent en 1961 sous le titre Présidente Lucky. Les photographies de presse des années 60 soulignent le caractère international des cabines des maisons Chanel ou Dior qui reflètent la diversité de la clientèle des maisons.
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