Plaisir de France - Chez la comtesse de Polignac - Ruhlmann - Marinot (mars 1935)
Numéro de Plaisir de France avec un article consacrée à la fille de Jeanne Lanvin, la Comtesse Jean de Polignac dont les demeures d'Antibes et de Paris ont été décorées par Louis Sue. On trouve également un hommage à Emile Ruhlmann auquel une exposition rend hommage au pavillon de Marsan.
Titre | Plaisir de France - Chez la comtesse de Polignac - Ruhlmann - Marinot (mars 1935) |
Édition | Paris, Le Rayonnement Français - Plaisir de France, 1935 |
Description | 48 pages, 8 pages de publicité agrafées sous couverture illustrée. Nombreuses illustrations |
État | Etat correct, petits défauts à 4 pages. |
Dimensions | 310 x 245 mm |
On trouve dans ce numéro un article "A Antibes et à Paris chez la Comtesse Jean de Polignac" illustré de photographies de Kollar des intérieurs aménagés par Louis Sue.
La première page du magazine revient sur la création de la revue quelques mois auparavant : "Plaisir de France a aujourd'hui 3 mois d'existence et le succès qu'affirment chaque jour le nombre croissant d'abonnements et le chiffre important des ventes prouve que notre formule intéresse un très large public et que la propagande que fait notre revue en faveur de tout ce qui est beau en France est efficace. Nous avons pensé que ces lecteurs qui ont fait confiance à notre publication un si sympathique et confiant accueil, et dont l'opinion nous intéresse vivement, voudraient bien nous dire, à l'occasion de ce début d'années quelles sont leurs rubriques préférées, celles qu'ils voudraient voir se développer, ou au contraire, celles qui les laissent plus indifférents. Notre formule se perfectionne d'ailleurs de numéro en numéro comme on a pu le constater. C'est ainsi qu'au mois de février commencera une série de chroniques sur la beauté, qui nous l'espérons sera favorablement accueillie. Nous tenons à bien spécifier ici que cette chronique, comme tout ce qui paraît dans nos pages rédactionnelles, est entièrement indépendante de toute influence publicitaire et que seulement la qualité de ce que nous publions guide notre choix".
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